Pour Toi ....


Le doux murmure s’approche de tes oreilles, laisse faire l’ineffaçable.
Laisse toi emporter par ton être qui ne demande qu’à se réaliser ici bas.
Tu as toujours lutté contre vents et marées, tu n’as jamais laissé place en ta vie le moindre affront en voulant tout contrôler.

Aujourd’hui, émerge une nouvelle réalité en toi, une nouvelle conscience.
Tu découvres la joie et la paix d’être tout simplement ici et maintenant.
Il ne te manque rien car tu as tout.
Tout se crée en toi pour être réalisé en dehors de toi.

Plus tu auras confiance en toi et plus la vie te montrera sa beauté car tout revient à toi.
Rien ne sert de courir ou de chercher, car tout est.
Pose-toi ici et maintenant, là où est ta merveilleuse place, car seul là tu te vois enfin comme tu es vraiment.

Le mental cesse de tourner le jour où tu ne t’identifie plus à lui.
Enlève les masques que tu as toujours porté pour enfin découvrir qui tu es vraiment.
Plus de place aux faux semblants, aux vouloirs, mais enfin jouir que tout est parfait.

Une grande vague se forme en toi … Tout se retourne, tout émerge …
Tu découvre une nouvelle façon d’être, une nouvelle façon de vivre.
De plus en plus en osmose avec la vie, tu découvres qu’il n’y a rien à faire à part être en soi.

De ton son centre sacré intérieur, tu découvres le monde que tu as façonné à ton image, a celui de tes pensées, tes idées, tes croyances …Tout est projection …
Pour découvrir derrière le voile, il faut accepter que toutes ces projections ont cessé d’alimenter ton mental.

Accepte en conscience d’être bien plus que tes pensées, bien plus que tes idées et tes désirs.
Tu es le Tout qui se réalise ici bas dans chaque brin d’herbe, dans chaque fleurs que tu humes.

Tu es magnifique et où tu poses le regard sur cette beauté, tu te permets de te souvenir de ta grandeur.
Accepte de ne regarder que le beau afin de te voir, accepte que le laid n’est que ton mental qui choisit t’attirer ton attention sur ces manques et ses peurs.

Le jour où tu te permettras d’être la joie et l’amour ici bas tu seras enfin Toi.

Je t’aime,

Alphabeus